Divertissement « pédagogique » et « mise en valeur » du patrimoine historique
Un exemple
Catherine Kintzler et Jorge Morales ont dénoncé les dérives « pédagogistes » sur des objets apparemment disjoints. Or la cartographie et la programmation artistique ne constituent pas, loin s’en faut, les seuls terrains d’élection d’un pédagogisme bienpensant qui s’en prend aussi à la « mise en valeur » du patrimoine et qui s’applique, comme toujours, à détourner l’esprit de sa présence à lui-même.