J’ai fait partie des 100 premiers signataires de la Tribune « Non au séparatisme islamiste » publiée par Le Figaro du 20 mars 2018 p. 2 (voir le pdf ci-dessous) .
Ce texte est à présent proposé publiquement à la signature.
On peut le lire confortablement, le communiquer et le signer en suivant ce lien.
C’est stupide, j’ai mis un commentaire sur le site change.fr, qui relayait l’article du Figaro, croyant que j’étais sur « mezetulle » !
Je ne vais pas tout reproduire … En substance, j’écrivais que, (lisant cette tribune sur votre site) j’avais cru à un rêve : une blague ironique (vu la date d’aujourd’hui, mais il manquait le petit poisson frétillant en bas de page …).
Hélas je m’étais réveillée, avais compris que j’étais dans la réalité, une réalité cauchemardesque !
Petite allusion à M. Macron qui avait bonnement avancé qu’il craignait « la radicalisation de la laïcité ». Ineptie indigne de lui, car elle prouve qu’il n’a rien compris ! (quoique, on ne peut nier qu’il existe bien des « laïcards » radicaux, qui voudraient supprimer de l’espace civil tout signe religieux … les exemples ne manquent pas).
Voilà … Jusqu’à quand ceux qui ont le pouvoir d’agir vont-ils rester aveugles et sourds ?
Merci d’avoir signé l’appel.
Non, cette année je n’ai pas eu le coeur assez léger pour faire un « poisson d’avril », la date tombant à un moment particulièrement sombre avec l’attentat de Trèbes.
Concernant la « radicalisation de la laïcité », je me permets de signaler l’article que j’ai écrit au sujet des propos attribués à E. Macron.
http://www.mezetulle.fr/les-propos-sur-la-laicite-attribues-au-president-macron-sont-mal-ficeles/ A ma connaissance, il n’a pas démenti l’attribution de ces propos – ce qui à mon avis est une faute politique car cela encourage certains à dresser une fausse et ignominieuse symétrie entre les fanatiques religieux qui font du massacre un moyen ordinaire et les partisans de la laïcité qui n’ont jamais attaqué ni insulté personne. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi Macron, dont l’assise électorale est extrêmement fragile, s’aliène une partie des Français en les provoquant ainsi.