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Le Bloc-notes
Billets d’actualité et d’humeur
« Regards croisés sur la laïcité », vidéo
L’émission « La foi prise au mot » de la chaîne KTO, préparée et animée par Régis Burnet, diffuse la vidéo « Regards croisés sur la laïcité » (Catherine Kintzler et Jean Leclercq, professeur… [lire plus]
Communiqué du Comité de Soutien international à Boualem Sansal
Le Comité de Soutien international Boualem Sansal salue la Résolution du Parlement européen condamnant à l’unanimité la séquestration arbitraire de l’écrivain franco-algérien à Alger et exigeant sa libération immédiate.
Le Parlement européen vient d’adopter ce 23 janvier une Résolution commune exigeant la libération immédiate et inconditionnelle de notre compatriote Boualem Sansal, arbitrairement séquestré depuis le 16 Novembre 2024 par le régime algérien au seul motif d’en avoir critiqué les dérives dans ses écrits et ses déclarations.
Accompagnateurs scolaires et port de signes religieux 1
Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau vient de relancer la question du port de signes religieux par les accompagnateurs de sorties scolaires. Il s’agit là d’un débat récurrent sur lequel Mezetulle a déjà publié plusieurs textes dont certains remontent à 2014. Le texte ci-dessous expose quelques arguments en faveur de l’interdiction de l’affichage religieux ou politique par les personnes accompagnant occasionnellement les élèves lors de sorties scolaires.
Descartes, Bibliothèque de la Pléiade : nouvelle édition en 2 volumes
Il faut saluer la publication cet automne de la nouvelle édition en deux volumes des ‘Œuvres’ de Descartes dans la Bibliothèque de la Pléiade (Gallimard), préparée par le regretté Jean-Marie Beyssade, publiée sous la direction de Denis Kambouchner – Jean-Robert Armogathe s’étant chargé d’un très large choix de lettres. Il était grand temps de remplacer l’édition en un volume due à André Bridoux (1937, dernière éd. 1953). Les deux volumes de 2024 accroissent considérablement l’accès aux textes et offrent, comme il se doit, une version conforme aux exigences actuelles en matière d’établissement et de traduction, ainsi que des présentations et des annotations critiques nourries par les derniers états de la recherche. Ces travaux ont fait appel à de nombreux spécialistes – parmi lesquels je ne suis pas peu fière de figurer, même si c’est pour des extraits d’un texte mineur (les vers du ballet La Naissance de la Paix donné à Stockholm en décembre 1649) dont l’attribution à Descartes n’est pas certaine.
« Laïcité, athéisme et auto-institution » (Podcast sur « Hérétiques »)
Le site Hérétiques m’a récemment invitée à enregistrer un « podcast » sur la laïcité, sous la forme d’un entretien en deux parties (publiées le 1er et le 15 décembre).
Cet entretien est disponible sur le site ainsi que sur les plates-formes Apple, Spotify, Deezer, Youtube, Amazon, Instagram, etc.
Nedjib Sidi Moussa s’en prend à Boualem Sansal et à Kamel Daoud 7
Note sur un article de 2017
En novembre 2017, j’ai publié un article de recension du livre de Nedjib Sidi Moussa ‘La Fabrique du Musulman’. Après avoir vu l’émission « C’est politique » diffusée hier 24 novembre 2024 sur la chaîne FranceTV 5, où cet auteur était invité et durant laquelle il s’en est pris à Boualem Sansal et à Kamel Daoud, j’ai jugé utile d’ajouter une note à mon article. Je la reproduis ci-dessous.
Il faut libérer Boualem Sansal ! 2
L’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, esprit libre, homme les Lumières, courageux et immensément talentueux, a été arrêté par le pouvoir algérien. On est sans nouvelles de lui depuis le 16 novembre. Il faut en parler, il faut « faire du foin » !
Valérie Pécresse et les caricatures : une pédagogie de l’intouchable 1
Valérie Pécresse, présidente du Conseil régional d’Île de France, a annoncé le 13 novembre la mise en place d’un projet pédagogique régional destiné à promouvoir la laïcité. Il s’agit notamment de sensibiliser les élèves à la liberté d’expression avec un programme pédagogique proposant aux professeurs de travailler sur des caricatures relatives aux religions. Mais, et c’est ce qui a fait grand bruit, sont exclues de ce programme les caricatures représentant Mahomet.
Samuel Paty, Dominique Bernard, in memoriam
Commémoration des assassinats de Dominique Bernard et de Samuel Paty par des terroristes islamistes. Je n’arrive pas à faire mieux que la reprise (ci-dessous) de l’article que je publiais le 17 octobre 2020, au lendemain de l’assassinat de Samuel Paty. J’y ajoute juste une réflexion.
Samuel Paty a été qualifié par son assassin de « chien de l’enfer ». Dominique Bernard a été assassiné expressément pour des motifs généraux à caractère civilisationnel. […] La laïcité est depuis 40 ans en proie à un « serial killer » protéiforme qui s’efforce de la neutraliser en la noyant dans un océan incantatoire de bienpensance « inclusive » : c’est le terreau sur lequel se développent les assassins visibles, physiquement armés.
7 octobre 2024, la France discréditée 10
Le premier anniversaire du pogrom du 7 octobre 2023 fait apparaître, à travers un Président apeuré et une gauche bienpensante prompte à s’incliner devant l’agenda communautariste de LFI, une France discréditée, intimidée par les menées terroristes génocidaires qui visent aujourd’hui la desctruction d’Israël et qui sont une menace pour tous les Etats démocratiques.
JO de Paris 2024 : l’Iran et l’Afghanistan hors Jeux !
Le Point publie aujourd’hui un texte pour défendre la neutralité religieuse des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Écrit par Daniel Salvatore Schiffer, philosophe, écrivain et Frédéric Thiriez, avocat auprès… [lire plus]
Un grand chantier républicain sur un champ de ruines 4
Un peuple se mobilise dans les urnes et fait savoir aux responsables politiques qui l’abandonnent depuis 40 ans que la coupe est pleine. Après avoir avalé – mais pas digéré – la calamiteuse expérience du référendum de 2005 où on lui a signifié que son avis ne compte pas, il réclame la sécurité (condition première de toute association politique), des services publics qui fonctionnent, une école qui instruit, une juste répartition des recettes et des dépenses publiques, le contrôle de l’immigration illégale comme le fait la gauche danoise. Il réclame qu’on lui rende le poids politique de sa parole. Il est grand temps de changer de politique.
Un peu de musique contre l’antisémitisme
Felix Mendelssohn, Lieder ohne Worte, Igor Levit piano
Après le pogrom du 7 octobre 2023 et en réaction à la montée de l’antisémitisme dans le monde, le pianiste Igor Levit a enregistré une sélection des « Lieder ohne Worte » (Romances sans paroles ) de Felix Mendelssohn. L’album se termine par un prélude du compositeur français Charles-Valentin Alkan.
La gauche s’unit contre tout ce qui la constituait (par Guy Konopnicki) 2
Guy Konopnicki a publié le 12 juin sur sa page Facebook ce magnifique et très lucide texte au sujet du soi-disant « Nouveau Front Populaire », dominé par LFI, qui va présenter des candidats aux élections législatives 2024. Il rappelle fortement les grandes lignes politiques du Front populaire de 1935 – « le vrai ». A contrario il montre comment la gauche aujourd’hui « s’unit […] contre tout ce qui la constituait : la République, la laïcité, la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, le travail, l’école publique » et, par ses rejets sectaires, barre la route à la constitution pourtant nécessaire d’une majorité de redressement républicain.
Je m’empresse de le reprendre ci-dessous en remerciant l’auteur pour son aimable autorisation et en m’associant à son analyse et à son appel.
« Dignité, digne » : sur une confusion lexicale 1
Thierry Laisney propose une brève réflexion sur le terme « dignité » et sur le décalage d’emploi et de sens entre le substantif et l’adjectif « digne ».
Tous les articles du Bloc-notes
Articles de fond, écrits sans hâte, argumentés, parfois longs ou même casse-pieds : c’est exprès ! Il y a bien longtemps que Mezetulle s’indigne devant une politique scolaire qui tient pour suspecte la transmission des savoirs et qui ne cesse de livrer l’école à son extérieur. De nombreux ouvrages et travaux se succèdent depuis une quarantaine d’années, annonçant et analysant l’effondrement scolaire que l’on constate. On serait tenté d’y joindre des écrits de François-Xavier Bellamy – notamment « Les Déshérités » et « Éduquer avec Rousseau ». Or Benjamin Straehli montre que le problème est que F.-X. Bellamy y recourt avec une grande désinvolture à une généalogie absurde, attribuant les maux actuels de l’école directement à Descartes, Rousseau et Bourdieu ; il reprend ainsi (ou même forge) des clichés fondés sur ce qui ne mérite même pas le nom de lecture. L’analyse des exemples proposée par Thierry Foucart montre en quoi les raisonnements spontanés, les hypothèses implicites, l’acceptation non critique de questions apparemment claires – que l’auteur désigne par le terme général d’intuition – loin d’être les fruits de démarches sommaires qu’il serait facile de déceler et de dénoncer, s’autorisent bien souvent d’un demi-savoir nimbé du prestige des technologies modernes en matière de calcul et d’information. Se croyant dispensé d’instruction élémentaire et de pensée critique parce que ces technologies fourmillent de solutions qu’elles mettent immédiatement à la portée de la moindre requête, on néglige alors de faire l’effort de s’interroger sur l’intelligibilité même des questions et sur la manière dont les connaissances sont obtenues. Seconde partie de l’article de Daniel Liotta. Dans ce travail d’analyse et d’explication de textes croisés, Daniel Liotta, à partir d’un livre d’Éric Marty, examine les déformations spéculatives imposées par la philosophe américaine Judith Butler à certaines œuvres françaises de la seconde moitié du XXe siècle, particulièrement celles de Michel Foucault. Cette déformation a reçu le nom de French Theory. Il met en lumière le statut distinct que Foucault et Butler accordent à l’universel, au particulier et au singulier lorsqu’ils pensent la « sexualité » et les normes sexuelles. Il montre en quoi et pourquoi Foucault et Butler sont fondamentalement en désaccord dans leur conception de l’universel et du singulier. Alors que Foucault propose une « culture » des plaisirs qui invente des singularités en s’ouvrant à l’universel une fois les particularismes mis hors-jeu, la pensée de Butler soumet la pensée du « je » à une sociologie des particularismes, interdisant toute valorisation du singulier et de l’universel. Depuis la nomination du gouvernement de François Bayrou, le nouveau ministre des Outre-mer Manuel Valls est l’objet d’un déferlement de haine sur les réseaux sociaux, au point qu’un auditeur a pu insulter en direct l’ancien Premier ministre sur une radio de service public. Au-delà du simple constat de l’abaissement du débat civique, Sébastien Duffort tente de définir les contours idéologiques et intellectuels qui inspirent un tel déchaînement. L’examen de divers aspects des reproches – pour ne pas dire plus – qui sont avancés (accointance avec « l’extrême-droite », « carriérisme », questions économiques, politique culturelle « identitaire »), est pour lui l’occasion de procéder à quelques rappels utiles. Le site Vie publique.fr, frappé du logo de la République française, a publié récemment un texte de Philippe Portier, intitulé « L’action sociale : de la laïcité de séparation à la laïcité de coopération ». Qualifié de « Parole d’expert », il côtoie sur le site des déclarations ministérielles et divers documents officiels. Aucune invitation à le commenter n’est proposée, aucune autre « parole d’expert » présentant un point de vue différent n’est rendue accessible sur le sujet. Comme le montrent l’enquête et l’analyse d’Aline Girard ci-dessous, sa source, son titre et surtout sa lecture révèlent qu’il s’agit d’une tribune programmatique promouvant une politique d’inspiration concordataire, contraire aux lois laïques. Seconde partie de l’article de François Rastier « Culture mondiale et griefs intersectionnels ». Les diffamations, proscriptions, interdictions, destructions que perpétuent les « cultural wars », la « cancel culture » et l’idéologie intersectionnelle touchent la plupart des pays démocratiques. Comment une telle détestation de la culture est-elle devenue une vertu politique parée des atours de la justice sociale ? Comment la culture est-elle devenue une cible pour les milieux culturels eux-mêmes ? Considéré comme le père de la sociologie française, Émile Durkheim (1858-1917) n’a rien perdu de sa pertinence pour nous aider à comprendre les enjeux sociaux et philosophiques d’aujourd’hui. Le regard que porte ici Daniel Baril sur son œuvre maîtresse, « De la division du travail social » (1893), montre que ses concepts et analyses peuvent servir à éclairer l’un des débats les plus chauds de l’heure et qui était imprévisible à son époque, le wokisme. Quentin Bérard poursuit ici une lecture de Cornelius Castoriadis qui soustrait cet auteur à la bienpensance dans laquelle il est convenu de l’enrôler. Il montre en quoi Castoriadis, analysant les moments contestataires successifs des années 1950 à 1990, parle aussi de celui d’aujourd’hui – le « wokisme » – et fournit des outils pour en comprendre non seulement les manifestations, mais aussi les conditions d’émergence et l’historicité. Le « wokisme » n’est en rien un courant importé, une résurgence anachronique d’un passé oublié ou l’engouement passager d’une adolescence tourmentée : il est la rationalisation, l’expression spectaculaire et nuisible de l’effondrement de nos sociétés. Le père Jean-François Senault (1599-1672), prêtre de l’Oratoire, prédicateur réputé, a publié en 1641 un ouvrage aujourd’hui un peu oublié, De l’usage des passions. Il est constitué de deux grandes parties, dont l’aperçu ci-dessous reprendra les titres, de onze « traités » et de cinquante-trois « discours ». Vu la proximité des dates, il est tentant, entre autres choses, de le comparer aux « Passions de l’âme » de Descartes (1649) : Thierry Laisney propose ici quelques éléments pour cette comparaison. En se penchant sur la distinction entre savoir et croyance (distinction naguère classique, mais qu’il importe aujourd’hui de rappeler, d’actualiser et de promouvoir), Thierry Foucart s’interroge sur le foisonnement actuel des idéologies irrationnelles, sur leur diffusion au sein même des milieux scientifiques et sur les conséquences de ce foisonnement en matière de liberté d’expression. Le paradoxe est que c’est au nom de cette liberté qu’une forme de bienpensance réclame le contrôle de l’expression publique et s’acharne à réduire l’analyse critique. Analyser les « démons internes » de la démocratie : tel est le propos du livre de Dominique Schnapper « Les Désillusions de la démocratie » (Gallimard, 2024). Le titre fait évidemment allusion à celui de Raymond Aron « Les Désillusions du progrès », allusion que confirment certains des thèmes abordés et l’idée dialectique qui rend compte de leur inévitable et contraire liaison – notamment égalité/inégalités, universalité/différenciation. Mais le livre va au-delà par ses objets très actuels (notamment les « critiques radicales » de la démocratie) et aussi parce qu’il porte à son maximum la thèse d’une « démocratie extrême », véritable retournement de la démocratie contre elle-même et en son propre nom. Ainsi la désillusion désigne à la fois les mouvements de forçage de la démocratie qui la délitent au prétexte de son inachèvement, et le regard analytique capable d’en exposer l’émergence comme celle d’éléments toxiques qu’elle secrète elle-même, les « démons internes » qui procèdent de son illimitation. Valérie Soria propose une recension détaillée de l’ouvrage de Christine Le Doaré « Traité sur la question trans. De violentes polémiques, des solutions faciles à mettre en œuvre » (Librairie BoD, 2024). Ce livre est précieux et très éclairant pour qui veut avoir une vue objective et mesurée concernant les débats sociétaux tournant autour de la question transgenre. Appuyé sur des données objectives chiffrées, il établit un état des lieux et propose des solutions de bon sens afin de permettre l’apaisement des polémiques. En pleine période électorale, et alors que les élèves en terminent avec les épreuves finales du baccalauréat, la question éducative a été peu abordée par les partis politiques. Celle relative aux programmes scolaires (les curriculums) et aux dispositifs pédagogiques mis en œuvre dans les classes, encore moins. Il s’agit pourtant là d’un enjeu démocratique et économique essentiel. Démocratique car l’égalité des chances est au cœur de l’idéal de justice sociale ; économique car la maîtrise du savoir par les élèves est fondamentale pour améliorer nos performances en termes de productivité et d’innovation. La Revue
L’urgence de transmettre… des contresens ?
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Critique des écrits de François-Xavier Bellamy sur l’école
Intuition et raisonnement
Les normes et ce qui leur échappe : sur Foucault et Butler (2de partie)
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À partir du livre d’Éric Marty « Le sexe des modernes »
Les normes et ce qui leur échappe : sur Foucault et Butler (1re partie)
À partir du livre d’Éric Marty « Le sexe des modernes »
Ce parcours très riche propose (première partie) une réflexion sur l’individualisation et la singularisation, la norme et la loi selon Foucault. Il aborde ensuite (seconde partie) une analyse de la puissance des particularismes, des communautarismes sexuel et social.Qui déteste Manuel Valls ?
Laïcité de séparation et « laïcité de coopération ». Un grossier piège sémantique
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Culture mondiale et griefs intersectionnels (2de partie)
Culture mondiale et griefs intersectionnels (1re partie)
François Rastier analyse la genèse de ce retournement en remontant à Heidegger et à ses successeurs déconstructionnistes : à la question anthropologique d’inspiration kantienne Que sommes-nous ? s’est substituée la question identitaire-nationaliste Qui sommes-nous ? Après avoir débusqué les apories isolationnistes et tautologiques de la logique identitaire, il expose la notion de culture mondiale en dialectisant la prétendue opposition entre les cultures et la culture selon le modèle de la dualité entre langage et langues. Il se penche sur la richesse de la traduction. Avec maint exemple, il expose l’ouverture, effectuée par l’art mais aussi par la science et par le droit, de l’espace pluriculturel. La question n’est pas de diviser l’humanité, mais de la créer constamment à partir des humanités. L’humanité ne se réduit pas à une espèce fondée sur une parenté génétique : elle manifeste sa parenté sémiotique en élaborant un incessant et chatoyant processus d’humanisation qui se retourne contre elle dès qu’il est si peu que ce soit segmenté. Le cosmopolitisme est plus que jamais nécessaire.Une analyse durkheimienne du wokisme (par Daniel Baril)
Le wokisme à la lecture de C. Castoriadis
Un autre Traité des passions : « De l’usage des passions » de Jean-François Senault
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Liberté d’expression, croyances et idéologies
« Les Désillusions de la démocratie » de Dominique Schnapper, lu par Catherine Kintzler
« Traité féministe sur la question trans » de Christine Le Doaré, lu par Valérie Soria
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Réforme du bac : un « grand » oral… qui n’a rien de grand